La Symphonie no 5 pour chœur et orchestre du compositeur québécois Jacques Hétu nous conduit dans le Paris d’avant, pendant et après la Deuxième Guerre, pour se terminer solennellement sur Liberté, le célèbre poème d’Éluard. La femme de Mozart, Constance, affectionnait particulièrement les fugues et les contrepoints, ces mélodies qui se superposent et se répondent comme si elles se pourchassaient l’une l’autre. C’est pour elle qu’il compose la Grande Messe en do mineur, alors qu’il se familiarisait de plus en plus avec la musique vocale de Bach et Haendel. Ces influences s’incarnent dans cette œuvre grandiose interprétée par le Chœur Métropolitain et quatre solistes de renom, sous la direction de Yannick Nézet-Séguin.
HÉTU : Symphonie no 5
MOZART : Grande Messe en do mineur