Avec Le chant du destin, Brahms met en musique la poésie de Friedrich Hölderlin, écho romantique à l’Antiquité grecque liant destin et consolation. Ces thèmes se retrouvent dans la Neuvième Symphonie de Beethoven, hymne à la fraternité humaine. Ces deux chefs-d’œuvre pour chœur et orchestre clôturent avec magnificence et sur une note d’espoir une saison traversée par de grands bouleversements socioculturels et humains, en compagnie de Rafael Payare.
Brahms, Nänie, op. 82 (12 min)
Brahms, Schicksalslied [Chant du destin], op. 54 (18 min)
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Beethoven, Symphonie no 9 en ré mineur, op. 125 (65 min)