I know you but I don't know you est la représentation du témoin d'une relation distante entre deux frères et sœurs qui, à cause de la distance, de l'espace et de la solitude, ont vu leur relation exacerbée par la façon dont la vie peut nous entraîner involontairement dans des directions que nous n'avons pas choisies. En tant que chorégraphe malentendant, il s'intéresse à provoquer une expression qui, comme la danse, recherche le langage pur. Par l'utilisation de mots et de textes littéraux, Cai Glover désire s'élever au-delà de ceux-ci, présentant ainsi une chorégraphie expressive, rapide et chargée en émotions.
Dans une dimension altérée par la technologie, quatre protagonistes s’évertuent à développer de nouveaux repères. Ensemble ils.elles tentent d’établir une connexion de leur propre matrice à celle de l’autre en quête d'une identité partagée. MMXX, de Pauline Gervais, est le procédé nouveau qui permet à ses entités numériques de fuir l’isolement. Leurs mouvements restreints par une arantèle aliénante, ces quatre danseur.euse.s androïdes arrivent malgré tout à transcender la distance et la solitude. Leur gestuelle désarticulée, frénétique et synchrone provoque un mirage d’union et de tendresse.
Elon Höglund part de l'idée que nous somme né.e.s de la terre et que nous y retournerons. Cette œuvre est une enquête sur les cycles de la vie et de la mort.