De tous les poèmes symphoniques de Richard Strauss, sa Symphonie alpestre est sans doute le plus impressionnant : son orchestre surdimensionné, ses cuivres rutilants, ses cordes soyeuses…et par-dessus tout, son évocation magistrale d’une excursion dans les alpes bavaroises, méditation sur notre place dans la nature, et symbole de la vie elle-même. Yannick Nézet-Séguin et le Métropolitain nous reviennent en grand, avec en prime quatre des plus brillants cornistes de notre époque, associés à l’OM, à la Staatskapelle ou encore au Philharmonique de Berlin.
Robert SCHUMANN, Konzertstück pour quatre cors et orchestre en fa majeur, op. 86
Richard STRAUSS, Eine Alpensinfonie, op. 64