Le pianiste Zoltán Fejérvári présente des œuvres fort imagées de Schumann et de Bach. Dans son Caprice, ce dernier raconte en musique ses efforts pour retenir son frère qui partait servir le roi. De son côté, Schumann décrit une scène en forêt, marquée tantôt par l’animation du chasseur, tantôt par le dialogue des fleurs.
J. S. Bach, Caprice en si bémol majeur, « Sur le départ de son frère bien-aimé », BWV 992
Schumann, Waldszenen (Scènes de la forêt), op. 82
Schumann, Novellette, op. 21, no 1, en fa majeur