Les compositeurs français et russe sont à nouveau mis à l’honneur par l’OSM. C’est pourtant le portait de l’Espagne, colorée et suave qui est tracé par Ravel, alors que Saint-Saëns teinte son Concerto no 5 d’accents arabisants. La fougue de Pétrouchka complète ce programme enlevant.
Ravel, Alborada del gracioso (Aubade du bouffon)
Saint-Saëns, Concerto pour piano no 5 en fa majeur, op. 103, « Égyptien »
Stravinsky, Pétrouchka (1947)