Dans le cadre idéal de l’Amphithéâtre, Jonathan Cohen et Les Violons du Roy convient Beethoven – sa majestueuse Septième, son message humaniste, son désir irrépressible de liberté et de fraternité universelle – puis son interprétation du mythe de Prométhée, toujours brûlant d’actualité, tant il nous ramène aux fondements mêmes de l’éthique… sans oublier un détour chez Mozart, maître incontesté de la mélodie et de la gymnastique instrumentale la plus confondante.
Ludwig VAN BEETHOVEN, Die Geschöpfe des Prometheus, op. 43 (Les créatures de Prométhée), extraits
Joseph HAYDN/Ignaz PLEYEL, Die Feuersbrunst, Hob.XXIXa:4 (L’Incendie), ouverture
Wolfgang Amadeus MOZART, Concerto pour basson en si bémol majeur, K. 191/186e
Ludwig VAN BEETHOVEN, Symphonie no 7 en la majeur, op. 92