Une marionnette espiègle prend vie et, avec ses acolytes, transforme l’orchestre en théâtre où se jouent leurs amours déçues, tel est le programme du très rythmique Petrouchka de Stravinski, où se décèle l’influence de Glazounov. En ouverture, le tragique Idomeneo de Mozart où se mêlent destin, passion et désespoir, reconstitué ici par Nicholas Carter, le chef invité. La violoniste Karen Gomyo met en valeur tout l’éclat et le romantisme de Glazounov.
MOZART, Idomeneo, musique de ballet (extraits)
GLAZOUNOV, Concerto pour violon
STRAVINSKI, Petrouchka (1947)