C’est devenu une sorte de tradition lanaudoise : la réunion estivale de deux des plus grands musiciens du Québec, auxquels l’on doit certains des plus grands moments de notre Festival depuis quelques années. Cette fois, c’est autour de Franz Liszt qu’on les retrouve, non pas d’un, mais de ses deux (!) concertos pour piano, démentiellement ardus, interprétés à la suite par un Marc-André Hamelin se jouant de toutes les difficultés. Entre ces deux mastodontes, la profonde intériorité et la nostalgie romantique de Brahms sont au rendez-vous.
Johannes BRAHMS, Ouverture académique, op. 80
Franz LISZT, Concerto pour piano no 1 en mi bémol majeur, S. 124
Franz LISZT, Concerto pour piano no 2 en la majeur, S. 125
Johannes BRAHMS, Symphonie no 4 en mi mineur, op. 98