Mendelssohn et Schumann, deux astres suivant des trajectoires parallèles, chacun à sa manière le pont entre Beethoven et l’apothéose du romantisme allemand, entre la forme classique sublimée et la démesure de Wagner. Peinture de paysages et réminiscences nostalgiques chez le premier, brio instrumental chez le second – c’est une rencontre passionnante entre Yannick Nézet-Séguin, l’Orchestre Métropolitain et la sublime pianiste Hélène Grimaud, dans ses débuts au Festival.
Fanny Mendelssohn, Ouverture en do majeur
Robert Schumann, Concerto pour piano en la mineur, op. 54
Felix Mendelssohn, Symphonie no 3 en la mineur, op. 56 « Écossaise »