Ce concert, dirigé par Kent Nagano, est empreint d’éclectisme, tant par les époques qu’il traverse que par le territoire qu’il couvre. Après deux suites de danses de Bach et Ravel dont celle de Bach en ré majeur, probablement la pièce la plus connue du répertoire musical, c’est l’Amérique du Sud que l’OSM interprète. Notamment le Concerto pour violon de Ginastera, réputé comme étant particulièrement virtuose et les Bachianas Brasileiras no 5 de Villa-Lobos.
J. S. Bach, Suite pour orchestre no 3 en ré majeur, BWV 1068
Ravel, Le tombeau de Couperin (version pour orchestre)
Villa-Lobos, Bachianas Brasileiras no 5
Alberto Ginastera, Concerto pour violon, op. 30