Le maestro Rafael Payare et l’OSM traversent un orage romantique rempli d’épanchements lyriques et d’envolées passionnées. Le Concerto pour piano no 1 de Tchaïkovski, œuvre virtuose qui allie un grand dynamisme et des touches dansantes de folklore, met en valeur le pianiste israélo-américain Inon Barnatan. Dans sa Symphonie no 1 , achevée en 1899, Sibelius s’approprie un discours hérité du romantisme en y posant sa marque, faite de changements brusques et d’atmosphères magiques.
Tchaïkovski, Concerto pour piano no 1 en si bémol mineur, op. 23
Sibelius, Symphonie n° 1 en mi mineur, op. 39