Ultime œuvre orchestrale de Brahms, la Symphonie no 4 contient toute la fougue et les tourments du compositeur. De forme classique, ses sonorités sont résolument romantiques, rappelant parfois Dvořák. Mais avant, Rudolf Buchbinder interprète le Concerto pour piano no 4 de Beethoven, véritable chef-d’œuvre pianistique, toutes époques confondues.
Beethoven, Concerto pour piano no 4 en sol majeur, op. 58
Régis Campo, Création mondiale – commande de l’OSM
Brahms, Symphonie no 4 en mi mineur, op. 98