Le succès de la Symphonie no 3 de Brahms se ressentit jusqu’en Amérique. Bien qu’évoquant une pléthore de sentiments, un certain héroïsme s’élève de l’œuvre, particulièrement dans le mouvement initial. Veronika Eberle complète le programme avec le Concerto pour violon de Dvořák, empreint de sonorités slaves.
Dvořák, Concerto pour violon en la mineur, op. 53
Zosha Di Castri, Création mondiale – commande de l’OSM
Brahms, Symphonie no 3 en fa majeur, op. 90