Avec la Symphonie no 8 « Inachevée », Schubert se distancie de l’héritage classique. Dans cette œuvre d’un extraordinaire lyrisme, tout comme dans Die schöne Mullerin, il s’affirme comme un grand mélodiste. Quant à la Symphonie no 5, une des plus enjouées du compositeur, elle s’inscrit dans la lignée du classicisme viennois.
Schubert, Symphonie no 8 en si mineur, D. 759, « Inachevée »
Schubert, Die schöne Müllerin (La belle meunière), D. 795, extraits
Schubert, Symphonie no 5 en si bémol majeur, D. 485