La chorégraphie et le scénario de The Smile Club s'inspirent de prétendues pratiques psychiatriques appliquées à Budapest, en Hongrie, pendant la Grande Dépression. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, la ville a été surnommée « la ville des suicides ». Le Smile Club met en scène un groupe d’individus internés dans un hôpital psychiatrique parce qu’ils souffrent de troubles mentaux. Ils reçoivent un traitement expérimental visant à réorienter leur négativité en les forçant à sourire bien qu’ils n’en éprouvent pas l’envie. En réalité, il s’agit de leur apprendre à masquer leur véritables émotions et sentiments pour faire semblant d’être heureux.