Si Marc-André Hamelin n’est pas étranger aux répertoires réputés injouables, ou encore aux marathons quasiment surhumains – que l’on pense seulement aux intégrales Brahms et Beethoven des dernières saisons! – il se mesure cette fois-ci à une sorte d’Everest : le Troisième Concerto de Rachmaninov, dont la difficulté diabolique, le caractère délirant et l’ardeur véhémente exigent du pianiste toutes les prouesses. Un rendez-vous indispensable avec des partenaires de choix, l’Orchestre Métropolitain et Yannick Nézet-Séguin.
Sergueï RACHMANINOV,
Concerto pour piano no 3 en ré mineur, op. 30
L’Ile des morts
Ottorino RESPIGHI,
Les pins de Rome