Entre Vivaldi à Venise, Boccherini à Madrid, Durante à Naples, puis Piazzolla à Buenos Aires, deux siècles plus tard, c’est le fil rouge d’une extraordinaire tradition musicale qui court, aussi profondément italienne que cosmopolite, mâtinée des flamboyances du baroque jusque dans les suaves cantilènes du maître du tango argentin. C’est à un périple de plaisir et d’harmonie que nous invitent les Violons du Roy et Nicolas Ellis, périple où brille le virtuose canadien Kerson Leong, dans ses débuts à Lanaudière.
A. VIVALDI
Sinfonia de L’Olimpiade, RV 725
F. DURANTE
Concerto pour cordes no 8 en la majeur
L. BOCCHERINI
Quintette à cordes en do majeur, op. 30 no 6, G. 324 (1743-1805)
A. PIAZZOLLA
Fuga y misterio (arr. pour cordes de J. Bragato) (1921-1992)
A. PIAZZOLLA
Las Cuatro Estaciones porteñas (Les Quatre saisons de Buenos Aires) pour violon solo et orchestre à cordes (arr. L. Desyatnikov)