L’inclassable Alan Lake renoue avec son langage chorégraphique au carrefour de la danse, du cinéma et des arts visuels. L’effritement des parades est un récit fait d’imaginaires trafiqués et d’idéaux désenchantés, et la lumière qui en émane nous rappelle l’immanence de l’être. Une plongée dans une atmosphère onirique.