Yannick Nézet-Séguin nous propose sa vision de la Symphonie no 9 de Schubert, « La Grande », une œuvre aux proportions imposantes, mais particulièrement intime.
Christian Blackshaw, grand mozartien de notre époque, offre un regard limpide sur l’œuvre du compositeur. Avec le Concerto pour piano no 24, notre artiste en résidence met en lumière la capacité de Mozart à illustrer en musique la profondeur des émotions humaines.
Avec l’Ouverture no 3 d’Emilie Mayer, surnommée la Beethoven féminine, l’OM et Yannick Nézet-Séguin poursuivent leur exploration d’un répertoire injustement négligé.